A l'ombre de ton œil perçant,
entièrement faufilée derrière l'encadrement béant sans porte.
Il n'y en a jamais eu.
Ton regard suffisait à me dissuader de la franchir.
C'est donc naturellement que j'ai commencé à voyager en projetant mon regard suffisamment loin pour ne plus sentir le tient. Je lançais mes yeux à l'assaut du spacieux. Ils n'avaient plus besoin de converger. Aucune obligation aucun écran aucune explication.
Aurore