lundi 16 mai 2016

Critique

Au commencement était la fin.  Stanley ELKIN

Tout est dit dans ce titre un poil pompeux.
J'ai envie de dire à Mr ELKIN: "Eh bien, vas-y mon gars, commence par la fin mais arrête toi vite!"
Car sous des allures de livre pseudo politico/psycho/philosophique, il ne se passe RIEN ou pas grand chose. Une immense contrée déserte dans laquelle on a du mal à avancer.
Bref: très décevant.
A noter, toutefois, l'attachement que Stanley ELKIN arrive à nous injecter à dose homéopathique, au bout de 800 pages, tout de même, pour son personnage principal.